Vers le début de notre ère en particulier, dans le paysage littéraire du monde gréco-romain, les formes de prose ont occupé une position dominante et investi toutes les fonctions jadis réservées à la poésie : divertir, séduire, inventer des mondes imaginaires. Pourtant, les prosateurs n’ont cessé d’affirmer l’identité de la prose et d’exiger d’elle, alors même que la poésie devenait son modèle secret, qu’elle reste fidèle, d’une manière ou d’une autre, à son programme originel.

Jean-Philippe Guez (FoReLLIS) et Dimitri Kasprzyk

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