[Maj 27/04/2020] La crise du COVID-19 est venue empêcher, perturber ou interrompre votre projet de mobilité internationale au sein d’une université partenaire.
En cas d’annulation pure et simple de la mobilité, vous n’avez pas pu bénéficier des prestations pour lesquelles vous avez engagé des frais : billets d’avion, de train, frais de visa, de logement…
Si la mobilité a débuté avant l’éclatement de la crise, en cas de retour anticipé ou en cas de confinement sur votre lieu d’études ou de stages, vous avez dû engager des frais non prévus.
Dans chacun de ces cas, l’université de Poitiers, qui a débloqué un fonds d’aide spécifique avec l’aide de sa fondation, fera son possible pour vous apporter une aide financière.
Dans un premier temps, nous allons vous demander de bien vouloir nous faire parvenir via le formulaire ci-dessous les différentes factures en votre possession.
Nous attirons votre attention sur le fait que l’Université de Poitiers ne considérera que les parts non remboursables par les différents prestataires.
Il faudra que vous puissiez montrer, pour chaque facture que vous avez essayé de vous faire rembourser par un prestataire, que celui-ci vous a opposé un refus ou vous a proposé un remboursement partiel.
Il est impératif que vous conserviez tous les justificatifs de demandes de remboursements (mels, courriers…)
Enfin, au regard de la situation exceptionnelle, de la multiplicité des cas, la prise en compte de vos réponses ne pourra pas avoir lieu avant la fin de la crise sanitaire.
Une commission examinera au cas par cas les demandes de remboursement.
Pour cette raison, il nous est impossible, pour l’heure, de nous engager sur un calendrier ou des modalités de remboursement.
Ainsi l’Agence ERASMUS+ a demandé aux établissements une remontée des dossiers complets de prise en charge dans le cas de force majeure à partir du 1erjuin 2020seulement et 2 mois avant la fin de la période contractuelle pour instruction. La décision de l’Agence nous sera normalement communiquée dans les 45 jours suivant le dépôt. Et il faudra un traitement de l’ensemble des dossiers avant que nous puissions arbitrer des décisions quant à des prises en charge complémentaires.
