Il s’agit de remettre la migration des arts de la Renaissance vers le Nouveau Monde dans le cadre et les dynamiques de la première mondialisation en insistant, d’une part, sur les rapports entre colonisation européenne et invasion artistique et, d’autre part, sur les réponses indigènes qui prennent toutes la forme de créations métisses. La scène se passe au XVIe siècle entre la péninsule ibérique et le Mexique alors que, on l’ignore trop souvent, se met en place le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui.
Informations complémentaires
Dans le cadre du cycle de conférences Migrations internationales et lutte contre les discriminations, avec le laboratoire Migrinter – Unité mixte de recherche du CNRS et de l’université de Poitiers, et en partenariat avec l’Espace Mendès France.