La maîtrise des Eaux et Forêts de Guyenne était jusqu’à présent demeurée peu connue, cet ouvrage entend mettre fin à cela. Il montre le dynamisme de l’institution et la manière dont elle a su imposer l’ordonnance de 1669 sur le fait des Eaux et Forêts, sans toutefois obérer ses échecs. Il constitue une étude de la délinquance forestière au XVIIIe siècle mais également une étude du rapport de l’homme à la forêt, de son univers mental, de ses représentations, en un mot une tentative de reconstitution, une archéologie de la culture matérielle.
Philippe Crémieu-Alcan (CRIHAM)

 

 

 

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